avis de décès

                                                                                  gunther    

un vrai passionné qui ne roulait qu'en Zündapp ....
un vrai bon gars comme je les aime , hors norme mais tellement attachant

Je n'ai pas eu l honneur de le connaître mais je présente toutes mes condoléances à sa famille et à ses proches

idem

Nous sommes peu de choses mais il nous reste encore quelques images du passage d’Hector parmi nous.

En fin de cet article:

http://www.zseft-zundapp.com/archives/2010/10/23/19404649.html

un roule toujours , il étais passé il y a deux ans chez moi en mars ou avril , il venais de Belgique et rentré chez lui , il avais dormi ( lui et sa Zündapp ) au chaud , bon voyage .......

Rencontré a Sigmaringen , un vrai disjoncter de la clé a molette, un vrai cyclomotard a l ancienne. Comme il habitait dans le village voisin du mien a la campagne , chaque fois que je roule la bas en zundapp on me prend pour lui. Zundapp

Une figure de la zundapp avec un grain de hors norme comme on aime

paix à son âme , nul doute qu'il voyage encore en zundapp c'était un passionné !

Hector est parti en emportant ses mystères...par exemple ces photos qu'il m'avait transmises....
Ce voyage au Maroc en duo sur une des premières KS125 liquide verte...je n'ai jamais pu savoir si c'était lui qui se faisait appeler Pascal, en tout cas une expédition de ce style il en était capable.......

http://www.zseft-zundapp.com/archives/2009/09/29/14048051.html

.............

Il était sur le forum Bel ?? si c lui lui il me reste des schéma Electrique !


Condoléance a ca famille

il s'appelait réellement Pascal ......

Sincères condoléances à sa famille

Message de présentation de Hector provenant de Zundapp;forumactif.org avec l'autorisation de Quentin

Hector a écrit:
Après deux rappels d'Alain pour me demander de remplir ma fiche de présentation, je vous la lance enfin. Je vais vous raconter comment j'ai connu les Zündapp et surtout pourquoi, 25 ans après la fermeture de l'usine, je roule encore avec cette petite machine.

Je travaille à Paris et mes Zündapp sont à Montargis.
Je déteste les autoroutes à 130 km/h ... autant prendre le TGV, c'est plus rapide et tout compte fait moins cher.
Je déteste les Nationales à cause des Zones Artisanales et de leurs publicités tous les 25 km.
Je déteste le Gang des ronds-points et le Gang des gendarmes couchés qui a envahi nos départementales.
Alors, il me reste les petites vicinales en Zündapp. Celles du plaisir à rouler. Je fais 20 / 25.000 km par an en Zündapp.
Je me rends souvent en Zündapp à Moulins (dans la famille) : j'ai constaté que je mets pratiquement le même temps qu'une voiture qui, elle, est soumise aux limitations de vitesse. Avec 6 € d'assurance par mois et une conso de 2,5 / 3 litres aux cents. Qui dit mieux ?

Je déteste aussi perdre mon temps à faire de la mécanique. Rouler dans une région inconnue ou lire un bon livre est quand même ''légèrement'' moins débile que de faire mu-muse au Meccano !
C'est pour cela que j'ai des Zündapp. Bien menées, elles font facilement 100.000 km en ne changeant qu'un ou deux segments.

Je roule actuellement avec une Zündapp KS 50 1978 verte, 50.000 km strictement d'origine 4 vitesses avec ses pédales. Elle a son segment et ses disques d’embrayage d’origine.

Et maintenant, j'attends de trouver d'autres Zündappistes ou Kreidleristes pour retourner en Février au Fjord Rally et monter jusqu'au Cap Nord. Sans prétention ni publicité. Juste pour le maximum de plaisir de rouler quand les autres sont au chaud devant leur télé ...



Mais je me dois de vous raconter comment j'ai découvert ce petit véhicule.

Comment en arrive-t-on un jour à Zündapp ?

Tout commence en 1972 par un Peugeot 104 pour mon Brevet.  
Grande époque où les parents de la classe moyenne pouvaient offrir une mob à leurs gamins (NdA : le PNB était pourtant 30 % plus bas qu'aujourd'hui, ... tiens ? où sont donc passé les richesses du pays ?).

Bref, super mob qui marchait à 60 km/h chrono et 70 en descente quand les Motobec’ plafonnaient à 45/50. J'en ai fait des concentres avec !
20.000 km en un an sans aucune panne sinon le perlage régulier des bougies. La première huile synthétique -la Finamix- n'était pas encore sortie ; on mélangeait à l'époque à 6 % !

Après, j'ai craqué pour un Malaguti 5 vitesses. D'origine 60 km/h chrono, 65 en descente. Au bout de 2.000 kms, ressort de sélecteur, fallait déjà ouvrir le moteur ! J'en profite alors pour le ''kiter''. Une seule heure de recherche dans le patelin était suffisante alors pour trouver le petit job qui allait me payer mon kit. C’est vrai qu’à l’époque, le patronat n’avait pas ses 12 millions d’esclaves émigrés pour le satisfaire. Quinze jours de balai chez le mécano du coin et je me change facile cylindre, pot de détente en silencieux et gros carbu-cornet (sans filtre à air, c'était la mode !). Le paradis : 75 km/h sur le plat et 85 en descente (chrono : 70 et 80).
A 7.000 km, nouvelle panne : roulements d’embiellage !
Et puis, arrivent les grandes vacances 1974 et une petite annonce dans Moto-Journal (les ‘’magic-puces’’) d’un type qui cherche son coreligionnaire pour découvrir l’Ecosse en 50. Et c’est parti. Sauf que … le type roulait en Kreidler... Je n’en avais jamais vu, c’était très rare à l’époque. Et dans nos mœurs esthétiques déjà corrompues par le marketing, c’était très très moche ! Et quand je l’ai rencontré pour le départ, je me gaussais en regardant ce gros 50cc qui semblait deux fois plus lourd que mon Malag’. Je m’inquiétais devant cette horrible machine qui semblait venir de l’avant-guerre, affublée d’un carter étanche qui lui boursouflait le côté gauche comme la joue d’un poilu après une grenade, et qui gardait son minable carbu Bing de 14 quand mon Malag’ débordait d’un magnifique Dell’Orto de 19. Pour conclure cette première supputation en ma faveur : 4 vitesses quand j’en avais 5 !
Et même pas gonflé, son tas !
D’origine …
…
J’allais certainement me traîner pour l’attendre !
J’appréhendais de rouler ces 3.000 km les yeux dans les rétros pour ne pas larguer ce pachyderme teuton.
…
Honte à mes préjugés. Même pas 10 km pour constater ma méprise. Son monstre hideux avec sa boîte 4 et son carbu de 14 tenait un bon 80 km/h chrono sans sourciller, quand moi, je me tenais à 70 en craignant le serrage. Tout en consommant ses à peine 2,3 litres aux cent quand le Malag’ s’engouffrait ses bons 3 litres. Arrivé en Ecosse, le 2ème jour, sans doute dégoûté par tant d’arrogance, les moutons roulant à gauche et moi à droite, 2 jours d’hôpital, et le Malag’ plié rentre en France par Europ’Assistance et arrive 6 mois après (douanes obligent).
L’assurance me permet alors de sauter le pas : j’achète un RM.

Je commence alors à comprendre que l’esthétique bêlant des modes (imposé par les sournoises fripouilles du Marketing) ne sert juste qu’à cacher la médiocrité d’une production dont la finalité n’est plus de produire la Qualité pour les citoyen, mais bien de VENDRE des déchets au service du profit.
Au fur et à mesure des milliers de kilomètres que je faisais avec mon petit RM, j’ai découvert d’autres Kreid’ qui faisaient 100.00 km sans rien toucher (n'est-ce pas, Cani ? ... il se reconnaîtra), quand les 125 japonaises (qui allaient à peine plus vite, le comble) refaisaient leurs moteurs à 5.000 km !

J’étais juste en train de comprendre ce que l’on est nombreux à savoir désormais : la loi nouvelle de ce monde médiocre fait par des médiocres pour des médiocres : maquiller la camelote par une esthétique toujours renouvelée.
Les gogos se sont délecté des Honda, Kawa et autres objets de consommation, menant les vrais fabricants à la ruine, Zündapp et Kreidler entre autres. Ils avaient quitté « la Qualité » pour entrer dans le monde fictif du ‘’look’’ et de la « Marque » Acheter de l’éphémère jetable.

La moto allait devenir un objet de consommation.
La moto allait perdre ce qu’elle avait été : un moyen.
Ce moyen pour goûter le prix de la Vie.
Risquer sa vie à chaque kilomètre.
Chuter un jour ou l’autre pour savoir qu’on l’a échappé belle cette fois-ci.
Apprendre qu’un copain a eu moins de chance. Qui nous rappelle que la vie, ça ne durera pas aussi longtemps qu’on le souhaiterait.
Qu’il vaut sans doute mieux répandre un jour ou l’autre son cortex sous les essieux d’un ‘’30 tonnes’’ que se retirer dans 50 ans déserté de ses souvenirs, tout seul entre les gants stériles d’une sœur hospitalière ... après l’ennui de toute une vie morne et sans risque.

Qui aujourd’hui, dans cette société mercantile, pense encore à vivre VRAIMENT ?
Rien d’étonnant : la propagande met en avant l’objet du Fantasme et dissimule le sens de la vie ?
… simplement parce que le fantasme fait vendre !

La moto, oui, seulement un moyen.

Ce moyen privilégié de goûter des paysages et des odeurs : qui n’a jamais savouré sur une petite vicinale d’un après-midi d’été l’odeur de l’herbe coupée. Ou dans les derniers kilomètres d’une longue balade épuisante vers la mer, quand l’imminence de la côte s’annonce par l’odeur marine qui surgit après un virage, d’abord incertaine, puis qui se renforce plus persistante au sommet d’une colline, pour s’affirmer après un dernier sommet ?

Ce moyen privilégié de se rencontrer entre passionnés, mélange éclipsé de toutes les classes sociales.

Ce moyen privilégié de saisir le profit tiré de l’effort :
Qui n’est pas arrivé fourbu dans un rassemblement hivernal, les doigts glacés, las des centaines de kilomètres parcourus ne connaît rien à la vraie vie. Se réchauffer autour d’un bon feu. La chaleur de l’amitié des potes d’autres régions perdus de vue depuis la dernière concentre. Cette chaleur qui nous fait vite oublier les morsures du froid. Et dans la fumée des saucisses, de se raconter jusqu’à tard les dernières anecdotes motardes… Alors, notre effort ouvre à sa récompense : l’amitié née du risque à vivre plus intensément que les moutons bêlant devant les vitrines et les écrans.

Mais les merguez ont remplacées les saucisses …
Agonie d’une civilisation.
Fin d’un monde.
Point.

Et pourtant, ce monde perdure un peu, pour de rares initiés qui connaissent ce plaisir si particulier. Cette sensation unique qui s’éveille dans le froid piquant du matin sur d’étroites départementales. Ce frisson dans le regard quand on cherche l’angle idéal, guettant le traître verglas dans l’abord de chaque courbe.
Quand sur des vicinales boueuses, la joie du soleil qui peu à peu assèche la trajectoire et aide les sous-bois à exhaler leurs arômes, … , les arrêts pour poser le regard calmement, … , observer silencieusement le rapace au loin qui étanche lui aussi sa curiosité en haut d'un arbre mort.

Et rouler en Zündapp donne ce lyrisme, il est un de ces moyens privilégiés qui ouvre à la poésie d’une vie pleine.



Revenons-en à l’histoire.

Le Kreidler, après 30.000 km de joyeuses ballades, se vend le jour de mon permis auto en échange d’un Yamaha mono 125 route.   Un 29 juin. A 10 heures le permis, à midi, la Yam’, à 14 heures, départ vers la Méditerranée.

Je croyais être passé dans une catégorie supérieure. Tu penses, passer de 3,6 CV à 15 CV.
Ah, ah, ah, attends la suite.

Descente par la N7. Je voulais filer au plus vite pour rejoindre Valence et enquiller sur Crest.
M’amuser enfin sur la Napoléon. Connaître les sensations nouvelles de ces 15 CV dans les petits virolos des Alpes !
Ah, bein, mon Colon, j’ai découvert ce qu’était de la japonaise.
90 km/h assis, 100 couché, 105 en descente, avec un compteur qui imitait Sarkosy parlant du pouvoir d’achat. Je me souviens que dans la grande descente après Nevers, là où six mois plus tôt, mon Kreidler avait touché 92 chrono dans le bas, la pauvre merde nippone avait difficilement atteint 107 ! Tu me diras, ça se lisait 120 sur le compteur, ah, ah, ah !
A Cannes, décalaminage, réglage allumage, rien n’y faisait, elle ne dépassait plus le 85 assis. Au total, 5 concessionnaires, 5 révisions. Je me souviens de l’avant-dernier à Moulins qui me dit tout de go ‘’Faut pas rêver, ce n’est qu’une 125 après tout’’.
Après Moulins sur la 7, Magny-Cours, un petit atelier sur le bord de la route, j’en avais assez, je m’arrête. J’avais décidé : j’allais m’en débarrasser au meilleur prix, rentrer en stop et chercher un bon Kreidler RS d’occas’.
Mais dans ce petit garage se cachait une concession Zündapp. Je ne connaissais la marque que de nom. Réputée elle aussi pour la laideur de ses productions. Le patron se bidonna bien fort de mes aventures mécaniques et me sorti 2 pièces neuves sous emballage scellé : 2 pistons. L’un de Zündapp KS 125, l’autre de Honda 125 K5. Il déchire les plastiques transparents, prend un palmer et me montre la mesure. Au 1/100ème de millimètre, les cotes du Zündapp correspondaient au manuel usine. Le Honda, lui, tout aussi neuf mais déjà au-delà des cotes !
Candide, je prenais Honda pour une grande marque (ils avaient été champion du monde, quand même !). Et qui vendait ce piston neuf qui dépassait la cote d’usure de leur propre manuel ! Tu m’étonnes que tous ces moteurs japonais dépassaient rarement 10.000 km !
Evidemment, à l’époque, un piston de Zün valait presqu’un demi mois de salaire quand l’équivalent chez Honda en valait 4 à 5 fois moins. Le prix de la ferraille, quoi !
Ce que j’apprenais aussi, c’est que ce petit mécano ne touchait que 10 à 15 % sur une vente de Zündapp quand c’était de 20 à 25 pour une jap’... En outre, vendre ces poubelles promettaient pour l’avenir des heures de réparation au prix fort …
---‘’tout bénef’’ pour un concessionnaire : vendre une japonaise, c'était comme avoir le beurre et l'argent du beurre. Tu m'étonnes qu'on voyait si peu de Zündapp sur les routes ! ---

Chaque chose ayant son explication : les japonaises se vendaient bien car les motards faisaient confiance au racolage des vendeurs, aidés en cela par des marketing-designers qui collaient au mieux à la mode esthétique du moment : ça coûtait moins cher que de fabriquer de la belle mécanique. Et les seuls qui savaient, qui auraient pu parler, les mécanos, eux, se taisaient, soudoyés.
Aidés en cela par les chiffres des brochures : Zündapp, honnête, vendaient ses 50 Watercooled pour 85 km/h au même prix qu’une 125 Honda affichée 125 km/h. On se tromperait à moins.
Mais c’étaient des chiffres … bidons comme une statistique de chômage.
Il faudrait toujours se demander ‘’qui calcule ?’’ mais on n’y pense pas.
Zündapp diminuaient ses performances de 10 % et les japonaises faisaient l’inverse. La mystification a rapporté aux menteurs. Leurs mensonges règnent en maître pour chanter l'agonie de la morale chrétienne.


Quant à moi, qu’allais-je décider ? Je venais d’être bien échaudé par les jap’, mais hésitant quand même à franchir le pas d’un investissement si élevé.
Malgré cette révélation clinique ET théorique : mon voyage et ensuite le mesurage des pistons.
De là à payer un prix pareil pour un 50 …

J’étais bien circonspect.
Alors, le vieux mécano allait m’asséner le coup de grâce.
Il m’intima d’attendre un de ses clients qui devait passer un peu plus tard. Soi-disant pour acheter des pièces avant un départ mystérieux au lendemain.
<< Tu lui demanderas toi-même ce qu’il pense de sa machine >>, me dit-il simplement.

Le client arriva. Un 517 orange (les premiers Watercooled), laid comme un pou, pire encore qu’un Kreid’.    Le type, lui, beau mec, réservé, la trentaine, se présenta comme ingénieur dans le Pétrole. Le Zün, lui, 40.000 km au compteur. Je n’avais vu un tel kilométrage que sur de rares grosses Béhème. Evidemment jamais sur un 125, encore moins sur un 50.
<< Tu as changé le moteur à combien ? >> osais-je.
Sourire muet. Celui que le sage arbore quand la compassion reste la seule attitude convenable face à l’ignorance.
<< Pourquoi aurai-je déjà changé le moteur, il n’a que trois ans >> me répondit-il narquoisement.
Un peu plus tard, il m’apprit qu’il avait choisit le 50 Zün pour sa solidité :
<< Je travaille à Hassi Messaoud sur les forages, Je fais l’aller-retour 2 fois par an ; Marseille, bateau, Alger, puis 700 km de Sahara dont trois-quarts de piste. Trouve-moi une autre moto qui peut faire ça aller-retour deux fois par an. Mais tu ne trouveras pas. Il n’y a que la mobylette bleue, mais elle ne dépasse pas le 40. La Zün, c’est 90 tout le temps. C’est la seule qui supporte 700 bornes à fond avec 45° à l’ombre, y’en a pas d’autres. Grâce à son radiateur (c’était à l’époque la seule moto refroidie par eau). Celle-là, elle n’a que trois ans, elle est donc presque neuve pour une Zündapp … >>
Il partait le lendemain, il venait chercher des pièces. En repartant, son sac de pièces de rechange se limitait à une chaîne et aux câbles.

J’avais compris. La décision était prise. Définitive.


Après, c’est l’histoire de mes Zündapp.
Entre mes 20 ans et mes 35 ans, mes Zündapp m'ont emmené en Ecosse, en Europe de l'Est, en Hollande, en Norvège, mais le plus fou, c'était le Sahara. Ou encore en 1980, le rallye international ''Liège-Nice-Liège'' avec mon 50 Watercooled, 3.500 km en trois jours.
230.000 km au total en Zündapp.



Et puis 20 ans d’oubli.
Et retrouvailles en 2006.
Ensuite, longues ballades avec ma femme qui a une Combinette 1962 : Allemagne, Forêt Noire, Ardennes, Vosges, Morvan, Cévennes, Alpes, Plaine du Pô …

Zündapp, pourquoi ? mais c'est la vraie vie

super histoire...j'aurais aimer le connaitre.....repose en paix...ZUNDAPP

Tres sympa de la part de Quentin.
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Un plaisir de lire cette attachement à notre marque on peu méditer dessus.